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 Mieux voir : La méthode Bates

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2 participants
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Hervé ZG
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Hervé ZG


Messages : 142
Date d'inscription : 09/04/2011
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MessageSujet: Mieux voir : La méthode Bates    Mieux voir : La méthode Bates  EmptySam 28 Avr - 6:15

Bonjour à tous Very Happy

Voici une thérapie , encore trop peu connue , de guérison de la vision . On l'appelle "la Méthode Bates" , du nom de son "inventeur" .

Voici un site italien avec quelques articles en français où vous trouverez certaines informations la concernant (cliquez dessus) : La Méthode Bates

La méthode Bates en France

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Voulez-vous apprendre à mieux vous servir de vos yeux afin d'améliorer votre vue sans lunettes? Il existe, depuis 1920, une méthode, malheureusement trop peu connue en France, mise au point par le docteur Bates, ophtalmologue américain.



Peu de gens savent qu'il est possible de remédier à une baisse de la vue sans recourir aux lunettes. Celles-ci ne sont en fait que des béquilles et elles n'améliorent pas toujours l'état des yeux. Cette méthode appelée "l'Education de la Vision" est basée sur la méthode Bates. Depuis son origine elle a bien entendu évolué, pour tenir compte des nouvelles connaissances en neuropsychologie et neurophysiologie. Cependant, les résultats de dernières recherches ne font que confirmer les observations faites par le docteur Bates au début du XXe siècle. La vue n'est pas uniquement la capacité de voir net. C'est également la capacité de visualiser, d'interpréter, de comprendre, d'assimiler et de relier à la mémoire les informations reçues par les yeux. Les yeux accueillent les informations en images de notre environnement, aident et à notre équilibre corporel. Ils sont également la fenêtre vers notre intérieur et vers l'extérieur. Mais pour qu'ils fonctionnent correctement, il leur faut des conditions favorables. Pourquoi n'est-ce pas toujours le cas ?

Une partie du cerveau
Du point de vue embryologique, les yeux sont une extension du cerveau. Les nerfs optiques sont en fait une des voies du système nerveux central : les yeux ne sont qu'une partie du système visuel. Ils permettent la réfraction de la lumière pour que les images que nous percevons arrivent sur la rétine et soient ensuite envoyées par les nerfs optiques au siège de la vision dans le cortex cérébral situé dans la région occipitale. Ce parcours n'est donc pas insignifiant, partant de l'avant du visage jusqu'à l'arrière de la tête via le thalamus (corps géniculé latéral). C'est dans le cortex visuel, à l'arrière de la tête, que sont rassemblées toutes les informations perçues par les yeux, c'est-à-dire les couleurs, les formes, les contrastes, les mouvements où ils seront analysés et interprétés. Parce qu'ils font partie du cerveau, les yeux sont influencés par l'état général de notre corps, nos pensées et nos croyances. Le développement du bébé vers l'enfance puis vers l'âge adulte s'opère en accumulant de nombreuses expériences, bonnes et mauvaises qui, plus tard, contribueront à former ses convictions, ses principes, son " regard " sur le monde. Les émotions négatives que nous vivons tous au quotidien telles que la colère, la peur, la panique, l'anxiété, l'irritation, l'énervement, le stress, provoquent des modifications physiologiques importantes sur le corps, : rétention du souffle, fixité du regard, contractions musculaires Puisque l'utilisation influence la structure, un stress mental va donc perturber provisoirement la fonction de l'il et donc changer sa structure. Si cet état négatif n'est que passager, les choses rentreront dans l'ordre. Si cet état se prolonge, la perturbation initiale devient le fonctionnement " normal ". Un meilleur usage des yeux peut donc induire, en retour, un effet bénéfique sur cette structure. D'autre part, le cortex visuel reçoit de l'oxygène et des nutriments via l'artère cérébrale postérieure qui est une continuation de l'artère vertébrale. Cette dernière monte au cerveau à travers une série d'orifices latéraux dans les six vertèbres cervicales du cou. Donc, toute modification de l'alignement de ces vertèbres (accidents, manipulation du cou) peut perturber la vascularisation du cortex visuel. De la même manière, toute tension dans les muscles attachés aux vertèbres cervicales peut modifier notre capacité visuelle. L'aide d'un ostéopathe peut être nécessaire pour vérifier que la relation entre la tête, le cou et la colonne vertébrale est correcte. Il est également important de veiller à notre posture, à la manière dont nous nous tenons. Par exemple, notre tendance à incliner la tête de côté, ou la projeter vers l'avant ou vers l'arrière de la colonne vertébrale, aura des conséquences sur la vue.

Notre "vision" de la vie
Le cerveau reçoit tellement d'informations par les yeux qu'il lui est impossible de tout enregistrer, il opère donc une sélection, influencée par l'intérêt et l'attention que nous portons aux détails de notre environnement. Le bébé s'intéresse à tout et ses yeux, qui cherchent à explorer le monde, se meuvent sans cesse. Cet intérêt commence à se réduire dès l'entrée à l'école avec les contraintes de la vie scolaire et se transforme souvent en ennui et en stress mental. On observe rapidement le début des problèmes visuels à l'école primaire ou au moment des études supérieures. Plus tard, dans la vie adulte et professionnelle, nous sommes également confrontés à des pressions de réussite, de concurrence, de compétence professionnelles, à l'ennui au travail pour de nombreuses personnes, à la course à la survie, aux soucis d'argent, de famille Toutes ces contraintes vont façonner notre façon de penser, d'interpréter, de " voir " les choses, et tellement nous préoccuper que nous finissons inconsciemment par réduire notre champ de " regard " et par conséquence notre champ visuel. Le simple fait d'élargir notre champ visuel par une vision périphérique soulage et repose la vision centrale. De la même manière, la conscience d'un environnement plus large autour de soi permet de voir dans quel contexte s'inscrivent nos soucis quotidiens. Nous prenons alors du recul et pouvons relativiser les choses.

Les yeux ont besoin du mouvement
L'anatomie de l'oeil est telle que pour voir net ils doivent bouger sans cesse par saccades pour que chaque partie de l'objet regardé soit perçue nettement. Quand l'il est immobilisé artificiellement (en laboratoire), l'image disparaît. Si vous fixez un objet en essayant de ne pas ciller les yeux, après quelques instants vos yeux deviennent douloureux et l'objet regardé devient trouble. Pourquoi ? La rétine de l'il est dotée d'environ 116 300 à 131 800 millions de cellules réceptrices sensibles à différentes nuances de la lumière. Parmi elles, 6,3 à 6,8 millions de cônes sont sensibles aux couleurs et à la forte lumière, dite lumière du jour. La macula lutea (dite " tache jaune "), petit creux de la rétine situé directement dans l'axe de la pupille, concentre un grand nombre de ces cônes. C'est la partie de la rétine sur laquelle la lumière, réfractée par les éléments transparents à l'intérieur du globe oculaire, doit normalement arriver pour obtenir une vision nette. Pour une vision nette d'un objet, la tache jaune doit le parcourir dans tous les sens afin que les informations arrivent au cerveau pour analyse et interprétation. Les 110 à 125 millions de bâtonnets, majoritaires dans la rétine, sont sensibles au noir, au blanc, aux contrastes nuancés de la lumière, à l'obscurité et au mouvement. Les cônes et les bâtonnets vont de pair. Les yeux ont besoin non seulement de lumière mais aussi de d'obscurité et de repos. Le cillement des paupières, qui sert à lubrifier, nettoyer et protéger la surface extérieure de l'il, lui donne les instants d'obscurité dont il a besoin. Ce cillement est un réflexe mais, dans des conditions de stress ou de concentration intense, il diminue et provoque une vue trouble et une sensation d'yeux qui brûlent ou piquent. Donc ces mouvements saccadés effectués par l'il pour parcourir un objet pour sa nette perception sont essentiels pour obtenir une bonne vue. Avant l'âge scolaire l'enfant explore, court, expérimente, s'intéresse, observe, joue avec intérêt et curiosité. Les yeux sont en mouvement permanent. A partir de la scolarité, l'enfant va fixer son regard, soit sur le tableau, soit sur son cahier ou sur son livre. Il va rester assis plus longtemps et réduire ses mouvements. Il est vrai que notre société moderne nous sédentarise de plus en plus par ses modes d'études, de travail et de loisirs. Nous lisons beaucoup, nous travaillons sur des ordinateurs, nous circulons en voiture, nous nous reposons en regardant la télévision ou en jouant avec des jeux vidéos : nos yeux se fixent sur des objets assez proches et notre regard reste figé avec concentration et/ou application. Il y a de moins en moins de mouvement pour stimuler les yeux. Ceux-ci se fatiguent, se rigidifient, accommodent moins aisément. Tout muscle ou toute partie du corps qui n'est pas utilisé perd sa fonction, ainsi, si nous restons allongés pendant des mois, nous perdons, par exemple, la fonction des jambes. De même, si nous ne stimulons pas les yeux par le mouvement, ils perdent leur fonction. Le mouvement améliore la fonction. Le mouvement est essentiel pour stimuler cette mobilité naturelle. En effet, les mouvements saccadés, presque imperceptibles, de l'il résultent de son anatomie. Il existe un point minuscule sur la rétine, la fovea centralis au milieu de la macula lutea (" tache jaune "), c'est la seule partie de la rétine nous permettant de voir avec netteté. Lorsque nous regardons un objet, le point que l'il perçoit le plus nettement est celui sur lequel il se fixe, le reste de l'objet étant toujours moins nettement perçu. Ainsi, l'il doit, pour le voir dans sa totalité et pour que le cerveau l'identifie, procéder par mouvements saccadés autour de l'objet regardé. Le docteur Bates appela ce phénomène la fixation centrale. Quand la vue baisse, l'il perd sa capacité de fixation centrale. La méthode repose donc sur la connaissance du fonctionnement de celle-ci. De plus, notre vie moderne trop sédentaire fait perdre aux yeux le sens du mouvement qui est une stimulation vitale.

Le besoin de lumière naturelle
Les yeux ont besoin de la lumière naturelle. Indépendamment des discours alarmistes sur le soleil, il n'en demeure pas moins que ce dernier est vital pour notre bien-être, notre équilibre, notre croissance et notre corps. Ce n'est pas le soleil qui présente des risques, c'est notre comportement à son égard. Les peuples qui vivent dans les régions à fort ensoleillement savent comment se comporter. On ne bronze pas nu, ou presque, quand le soleil est à son zénith, on reste à l'ombre ou à l'intérieur. On se couvre complètement avec des vêtements adaptés et non serrés autour de la taille ou des jambes. Notre civilisation moderne nous a coupés du rythme des jours et des saisons, on fait n'importe quoi n'importe quand. Cependant, les yeux sont conçus pour assimiler cette énergie vitale et s'adapter parfaitement à toute nuance de lumière par la dilatation et la contraction des pupilles, selon le degré de luminosité. S'ils ne s'adaptent pas, ce n'est pas le soleil qui représente un risque, mais c'est notre utilisation des yeux qui est mauvaise. Non seulement notre société nous sédentarise, mais elle nous enferme des journées entières dans des bureaux, des établissements scolaires, des usines, généralement sous une lumière artificielle qui ne nous nourrit pas. Ce manque de lumière naturelle cause de nombreux troubles tels que la dépression nerveuse, des carences en vitamine D, des problèmes de croissance, voire un dérèglement hormonal. Dans les pays du Nord, les hivers longs et le manque d'ensoleillement provoquent des dépressions qui sont traitées par l'exposition à des lampes spéciales qui fournissent une lumière proche de celle du soleil. Exposés de plus en plus à une lumière artificielle, nous n'avons plus l'occasion de vivre les crépuscules. En effet, dès le crépuscule, nous allumons les lampes à l'intérieur de nos maisons ou de nos bureaux. Pourtant, le crépuscule laisse à nos cônes (vision de jour) le temps nécessaire pour passer graduellement le relais aux bâtonnets (vision de nuit). Avant l'invention de l'électricité, nous avions besoin de nos bâtonnets pour circuler dans la nuit, prévenir le danger, éventuellement chasser. De nos jours, nous pensons en avoir moins besoin et nous ne stimulons plus les bâtonnets. L'équilibre de l'il nécessite absolument que nous stimulions toutes ses parties. Et rappelons-nous que ce que nous n'utilisons pas s'atrophie. Il est rare que nous ayons le réflexe de reposer nos yeux. On les sollicite de plus en plus longtemps car nos journées se prolongent tard dans la nuit avec l'éclairage artificiel. Le sommeil ne repose pas forcément les yeux car notre repos n'est pas toujours profond, accompagné par un véritable repos mental : le cerveau et les yeux ne font qu'un. La nature nous a fourni deux yeux. Chaque il voit la même chose selon un angle différent et transmet au cerveau deux images que ce dernier va fusionner en une seule. Le travail "à deux" des yeux -la vision binoculaire- nous permet de voir le monde en trois dimensions, c'est-à-dire avec profondeur. Ce travail "en équipe", comme un seul il, fait parfois défaut chez certaines personnes. Normalement, la vision binoculaire se développe en parallèle avec l'autonomie du mouvement lors de la petite enfance.

La méthode Bates

Le docteur W.H. Bates (1860-1931), un ophtalmologue américain qui exerçait surtout à New York, consacra sa vie à la recherche sur le système visuel, à la théorie de l'accommodation et aux modifications physiologiques des états de stress et d'émotions négatives. Il conclut que notre vue était influencée par la manière dont nous utilisons nos yeux. Les yeux contribuent à 20 % de la fonction visuelle et le cerveau à 80 %. Ce dernier, dont dépend l'état général de notre corps, est particulièrement influencé par le stress mental et les émotions. Le docteur Bates comprit donc qu'il était essentiel d'apprendre à garder les yeux et l'esprit détendus tout en maintenant notre intérêt et notre curiosité pour le monde qui nous entoure. Il est important de "voir" ce que nous regardons, ce qui n'est pas le cas quand nous sommes stressés ou préoccupés. Nos préoccupations mentales encombrent notre cerveau et l'empêchent d'intégrer les images du monde extérieur. Cet état mental affecte la mobilité naturelle des yeux qui, pour fonctionner correctement, doivent être constamment en mouvement. Ses recherches aboutirent à une méthode d'apprentissage constituée de techniques spécifiques permettant, entre autres, de : - stimuler le mouvement saccadé naturel des yeux, - encourager l'intégration des deux yeux pour retrouver une binocularité optimale, - apprendre à détendre les yeux fatigués et l'esprit préoccupé, - élargir le champ visuel en étant conscient de la vision périphérique, - devenir conscient que le point regardé (vision centrale) est plus net que tout ce qui l'entoure (vision périphérique), - stimuler le mouvement de contraction et de dilatation des pupilles pour permettre une meilleure adaptation à tous les degrés de luminosité, - et surtout, observer par ce travail que si nous voyons consciemment ce que nous regardons, nous ne pouvons pas nous perdre dans les préoccupations mentales. En 1920, le docteur Bates publia un ouvrage, malheureusement non traduit en français, dans lequel il explique les conclusions de ses recherches. Depuis, de nombreux auteurs ont publié des ouvrages sur les différentes manières d'améliorer la vue. Certains ont repris sa méthode en ajoutant leurs propres exercices. Dans son ouvrage " L'Art de Voir ", (Ed. Payot), Aldous Huxley, qui a lui-même bénéficié de cette méthode, rend hommage au docteur Bates. Devenu presque aveugle à 16 ans à la suite d'une maladie oculaire grave, il prit connaissance du travail du docteur Bates et put ainsi récupérer une bonne partie de sa vue qui s'est alors améliorée. Il en fut si reconnaissant qu'il écrivit cet ouvrage dans lequel il décrit non seulement les techniques, mais explore aussi les fondements philosophiques de son efficacité. La seule pratique des exercices proposés dans les ouvrages sur les manières d'améliorer la vue n'aboutit pas forcément à une amélioration. Quelques leçons avec un professeur sont indispensables, car les exercices effectués à partir d'un livre peuvent s'avérer totalement inefficaces : ce n'est pas l'exercice en soi qui est important mais la manière dont il est exécuté. La méthode Bates ne se limite pas à une série de gymnastiques oculaires, elle nous apprend à reconsidérer la façon de regarder et à prendre conscience de ce que nous regardons. Il ne faut pas nécessairement se contraindre à faire des " exercices " dix minutes ou une demie heure par jour. Quelle est la cause d'une détérioration soudaine de la vision ? La baisse de vue initiale peut être un symptôme d'un état vécu à un moment donné. Selon cette logique, si la vue peut se détériorer, pourquoi ne peut-elle pas aussi s'améliorer ? C'est une démarche consciente, qui peut être longue. L'obtention d'un résultat tangible nécessite l'acceptation et la volonté de changer. Si l'on a une forte attente de résultats, on devient impatient. Si l'on est impatient, on tombe dans l'effort et l'effort devient une tension mentale. Ainsi on se retrouve dans le stress de résultat qui ne va faire qu'exacerber le problème initial. Donc, sans attentes de résultat, nous sommes ouverts au changement et il peut y avoir des changements là où ils sont le moins attendus. Le processus d'apprentissage de la méthode Bates ne se substitue en aucun cas à un bilan ou un suivi par l'ophtalmologue. Certains ophtalmologues s'intéressent à cette approche du fonctionnement du système visuel et ont observé des changements positifs. Une connaissance et une compréhension meilleures de ce processus de la part des professions de la vue ne peuvent qu'être souhaitées et encouragées. Ainsi en travaillant ensemble, en faisant des recherches cliniques communes, nous pouvons répondre aux besoins de ceux qui veulent une alternative à l'approche proposée actuellement. Nous encourageons les recherches dans la neuropsychologie, la neurobiologie qui nous apprennent à quel point le cerveau influence notre fonctionnement, nos émotions et nos états physiologiques, notre "être".

Nina Hutchings, Professeur diplômé de la méthode Bates, School of Vision Education (Angleterre).

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]Formation professionelle en France

Association L'Art de Voir, Hameau de Tournefort, 13840 Rognes, France
tél. : 0033 / (0)442 50 10 70
Fax : 0033 (0)442 92 39 3
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sunny

PS : Si je l'avais connue plus tôt , peut-être que je ne porterais plus de lunettes à l'heure actuelle Laughing Je vais l'essayer dès que possible . On verra bien ... Rolling Eyes Wink
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Christian C

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MessageSujet: Re: Mieux voir : La méthode Bates    Mieux voir : La méthode Bates  EmptyLun 21 Mai - 7:42

Intéressant. Merci pour les liens Hervé.
Je vais étudier le sujet à "tête reposée". Je ne sais pas si cette méthode peut avoir des effets sur des cas d’atrophie du nerf optique, mais cette approche vaut le coup de creuser le sujet.
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